Camp retranché du G.A.R.D.E
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Camp retranché du G.A.R.D.E

Camp retranché du G.A.R.D.E
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-26%
Le deal à ne pas rater :
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil Unlimited ...
249.99 € 339.99 €
Voir le deal

 

 Récit fictif : Le dernier jour

Aller en bas 
AuteurMessage
ScarniX
Troupe d'Elite
ScarniX


Nombre de messages : 417
Age : 38
Date d'inscription : 29/08/2006

Récit fictif : Le dernier jour Empty
MessageSujet: Récit fictif : Le dernier jour   Récit fictif : Le dernier jour Icon_minitimeJeu 15 Mai - 1:13

Citation :
Interdit au moins de 18ans ^_^ et âmes sensibles s'abstenir.


Il y a de cela très longtemps, dans un royaume inconnu et dévaster par les guerres, une bataille se faisait sentir.

Les monastères qui abritait les portes pour la venu des anges avec été ravager et détruite par les armées démoniaques soutenu par des armées humaines avide de pouvoir. Tous les moines étaient morts en même temps que leurs croyances lors des assauts qui avaient ravagé leurs domaines.
Les villages avaient été pillés et soumis à l’esclavage, il en était de même des grandes villes du royaume du bien ?
Il ne restait plus qu’une grosse forteresse. Enorme et titanesque, sa structure comprenait 2 mur d’enceintes, des douves, un mur supplémentaire, le faubourg, encore un mur, les bâtiments militaires, un mur supplémentaires et enfin les quartiers royaux.
Ce joyau d’architecture militaire était le fleuron et le bastion du royaume. Il était le dernier endroit à n’avoir pas subit la guerre dévastatrice mené par le royaume démoniaque.

Un jour comme les autres, les paysans allaient aux champs à l’extérieur de la forteresse. Le brouillard commençait a se levé, tout le monde riait pour faire comme si de rien était. Il fallait oublier les morts et s’occuper des réfugier de toutes races. Des anges et leurs enfants ayant réussit à fuir les monastères en guerres c’était réfugier dans la forteresse. Ce lieu, abritait deux fois plus de personnes qu’elle ne pouvait en contenir, c’est pour cela qu’il fallait avoir de meilleures récoltes pour permettre à tout le monde de survivre. Il y avait beaucoup de bétails et les champs s’étendaient à pertes de vue sur les plaines autour de la forteresse.

Tout se passait calmement jusqu'à ce qu’une flèche enflammée traversa la gorge d’un pauvre paysans parlant à sa femme. Cette dernière ne savait pas quoi faire face à son mari qui venait vers elle, la gorge en feu et le sang coulant de sa bouche sans qu’il ne puisse émettre aucun son. Il tomba rapidement par terre sans que personne ne s’en rende compte. La femme était tellement choquer qu’elle n’avait presque pas bouger ni parler.
Levant les yeux au ciel, elle cru voir la pluie commencer à tomber. Mais ce qui venait de s’abattre sur elle et sur tous les paysans alentours, c’était une pluie de flèche. Traversant leurs corps, perforant leurs yeux et leurs poumons, pénétrant leurs crânes et leurs clouant même les pieds au sol. Les quelques personne qui arrivait à fuir, criait a tout va, certains avait même des flèches dans leurs corps et mourrait en chemin de la forteresse.

Rapidement, un signal retenti et tous les paysans couraient vers des remparts sans savoir ce qui se passait. Mais une autre pluie de flèche s’abattis alors sur la plupart des champs qui se faisait alors déserté. Le nombre de paysans ayant succombé se comptait par centaines. Pourtant, on ne voyait rien, le brouillard n’était pas encore levé et plus d’un soldat sur les remparts avait froid dans le dos.

Alors que les dernières personnes rentraient dans la forteresse et que l’on fermait les portes, le brouillard commençait à se lever et les sons de tambours se faisaient entendre. Tout autour de la forteresse, on pouvait entendre cette musique tribale et le sol commençait à trembler. On pu enfin apercevoir l’ennemi. Ils étaient des milliers, voir même des millions tout autour de la forteresse. C’était un amas grouillant d’être qui, malgré leurs armures et leurs nombres, avaient réussi à s’approcher si près sans qu’on ne les entende.

Les hommes de la forteresse avaient à peine vu cet attroupement, qu’ils distribuaient à tous des épées, des arcs et des lances. Les anges survivant prirent alors les armes et les enfants étaient emmener dans les caves et les sous sol de la forteresse.
Il s n’eurent pas le temps de tout organiser avant que les premiers trébucher lançaient des projectiles enflammé dans le faubourg. Les hommes sortaient de leurs maison en feu et souvent eux avec, transformer en torche humaine, demandant de l’aide aux autres. N’arrivant pas à éteindre le feu de certain, leur tête était tranchée d’un vif coup d’épée pour qu’il ne souffre plus. Seulement, à peine avaient-ils eut le temps de s’occuper des blesser, qu’une titanesque pluie de flèches et de projectiles de trébucher allait s’abattre sur toute la forteresse. Traversant des toits et endommageant les portes d’enceintes jusqu'à ce qu’elle cède. La porte nord avait été la première à tomber et les fantassins ennemis couraient pour investir la forteresse.

Enfin, les hommes de la forteresse pouvaient répliquer en tirant quelques flèches sur eux, ce qui ne les ralentir qu’un court moment avant que la cavalerie ennemie se mette en route quand la cadence de tir des flèches était au plus bas.
Pour contrer cet assaut, les piquiers de la forteresse sortirent accompagner des épéistes. Le choc de la rencontre des deux camps à fût retentissant. Le bruit des lances traversant les chevaux, les épées se fracassant contre le crâne des hommes, les membres se faisant découper créant de véritables fontaines de sang. Jusqu'à ce que dans les troupes ennemies un démon se plaça devant un épéiste du bien. Celui –ci voulu lui enfoncer son épée dans le ventre, mais la hache de son ennemi le trancha verticalement en un coup puissant, laissant ses deux parties tomber face au ciel et laissant s’échapper l’odeur putride des aliments en digestion dans ses intestins. Un autre lui fonça dessus, mais sa hache fût encore la plus rapide, traversa son visage en diagonale avec quelque centimètres de profondeurs. Mais c’était suffisant pour voir tomber le nez du pauvre soldat et entendre le craquement de sa mâchoire et le déchirement des muscles de sa joue. L’afflux de sang n’avait pas encore eu le temps de se faire que le démon le poussa par terre et que dans de vivement mouvement, lui retira son plastron saisissant ses côtes et les lui arrachèrent, laissant son torse sans peau et sans côtes. Le pauvre souffrait, le sang coulait partout de partout et il était encore en vie. C’est dans un rire immonde que le démon le laissa par terre et continua son carnage sur les autres. D’ailleurs des copains à lui venaient de le rejoindre. On pouvait assister à une véritable bataille d’humano-démoniaque contre des humains.

A ce moment, deux anges arrivèrent comme la foudre sur les démons et d’un coup d’épée, leurs coupèrent la tête a l’horizontal. Ils purent voir d’ailleurs que le reste des troupes du nord venait en renfort alors que les troupes ennemies du sud, de l’est et de l’ouest ne bougeaient pas.

C’est dans ce moment d’inattention qu’une succube se plaça derrière un des anges et l’attrapa. Paniquer, l’ange tenta de se débattre, mais la démone aillé lui arracha la jugulaire avec les dents, éclaboussant son collègue d’une volé de sang. Il n’eu a peine eut le temps de comprendre que son ami venait de se faire tuer, qu’un groupe de succube s’en prirent a lui, lui enfonçant leurs longs ongles dans les yeux, lui arrachant la mâchoire et l’émasculant de plus belle.
Les lâchant, les deux cadavres des anges tombèrent dans le champ de bataille encore bien actif où un énorme bien vint les écraser. C’était un serviteur de l’apocalypse, ces être colossaux et au combien idiot venait de faire son apparition.

Le nombre d’hommes du bien diminuaient fortement, alors que la forteresse envoyait toujours plus d’hommes en renforts, même si ceux là n’était que des paysans armée a la hâte.
Mais les trois autres portes cédèrent à intervalle très court, ce qui conforta l’assaut massif sur la forteresse. Les anges et les humains se découpaient partout, dans les airs, sur terre jusque dans les douves. Les flèches commençaient à manquer et les archers devaient faire face à des soldats ennemis qui venaient sur les remparts pour les exterminer. Les corps étaient lacérer de coups d’épée et il n’était pas rare de voir un démon tuer son allié parce qu’il venait de le finir.

Dans toute la forteresse, la bataille faisait rage, c’était le chaos le plus complet, les anges tombaient les un après les autres. Un bébé ange cherchant son père avait réussi à fuir les sous sol. Dans toute ce bruit et au milieu de tout ces morts , le jeune ange ne pouvait que pleurer en voyant des plumes tomber du ciel, des corps ouverts et déchiqueter par terre et des flaques de sang au lieu des flaque d’eau. Deux humains ennemies venaient de le trouver en train de pleurer et s’amusèrent à le réconforter puis à la taquiner avec ses petites ailes. L’enfant essaya de se débattre, ce qui déplu au soldat qui lui brisa violement les deux ailes et lui planta une flèche dans la jambe. Ils repartirent tout les deux en rigolant.

Les nombres de soldats du bien était devenu quasi nul, les derniers anges encore debout se faisaient lécher le sang par les succubes vu qu’ils étaient dans l’incapacité de fuir. Les portes des bâtiments royaux avait était détruit et les quelques moines et soldats d’élites du roi se battaient encore alors que celui –ci avait était tuer a la chute des trois autres portes par son haut conseiller qui travaillait pour l’armée humano-démoniaque. Ce dernier était mort rapidement derrière.

Un certain calme venait de revenir dans la cité, on pouvait entendre les pleures des hommes et des anges agonissant. Quelques cris des femmes et des angelles se faisant violer dans les sous sol. Les crépitements des feux dans les maisons et le bruit du fouet emportant des enfants travaillés dans des mines.

Le chef des troupes humano-démoniaque alla se mettre assis sur le trône, d’où il retira le corps de l’ancien roi. Fière de son succès, il se mit à rire jusqu'à ce que sa tête n’explose, éclaboussant de cervelle les alentours et les hommes présents. Ils ne bougèrent pourtant pas devant se spectacle. Le corps tomba par terre et une autre figure prit place sur le trône. C’était le diable.

« Voici mes directives, dites à tout le monde que Dieu est sur ce trône et qu’il a vaincu les armées démoniaques. Par ailleurs, ils doivent me donner de l’argent s’ils veulent ma bénédiction, sinon… qu’ils aillent se faire foutre. Hum, comment je vais appeler cette ville ? Rome ? Jérusalem ? Olympie ? »

Fin
Revenir en haut Aller en bas
 
Récit fictif : Le dernier jour
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Camp retranché du G.A.R.D.E :: Au sein du Camp :: Tente de lecture-
Sauter vers: